Revue de Presse
Octobre 2010 - Monsieur magazine
Barbour un jour, Barbour toujours
Octobre 2010 - Le Nouvel Observateur
Le retour du Barbour
Avec le triomphe de la tendance "Chasse et Pêche", chez les branchés (qui, eux, disent preppy), la veste Barbour revient en force...
Octobre 2010 - L'Express Styles
Barbour porte beau
Octobre 2010 - Le Point
La "British Touch"
Octobre 2010 - Madame Figaro
Parlez-moi Barbour
Septembre 2008 - Jamais sans mon Barbour
Le Figaro Magazine
Mai 2008 : Un article sur Courson dans Le Marie Claire idées
Magazine MARIE CLAIRE idées de mai 2008
Ces journées auront lieu les 16, 17 et 18 mai 2008.
Lors de cette 48ème édition, deux thème pour cultiver la diversité au jardin seront abordés : les couvre-sols qui en rampant et en grimpant éradiquent naturellement les mauvaises herbes et le monde des collections végétales pour enrichir la palette du jardin et conserver le patrimoine génétique des plantes.
Cette manifestation sera aussi l’occasion de baptiser de nouvelles fleurs et de voyager très loin sans quitter son jardin avec des plantes venues de Chine, d’Himalaya, d’Amérique du Nord ou encore d’Afrique du Sud. Pour un bon comportement au jardin, exposants et associations pour proposeront des composts bio, des conseils d’élagage et de dépollution, tout pour un jardinage naturel. Au delà des exposants pépiniéristes et horticoles, vous trouverez aussi tout pour bien vivre au jardin : objets, mobilier, outils, vêtements, artisanat…
L’Observatoire des Tendances du Jardin soutenu par l’Institut Jardiland, inaugurera son Jardin d’Essai « Lumières ». Véritable vitrine du Carnet des Tendances, l’OTj, Jardiland et l’Institut National d’Horticulture à Angers permettent la réalisation de cette création originale de jeunes talents, Sonia Gros et Sonia Keravel.
A travers 3 espaces, « lumière éclatante », « lumière diffuse » et « jardin de lune », ces jeunes paysagistes vous propose d’interpréter la lumière au jardin.
Oct - Nov 2007 : Barbour, un mythe inusable
Magazine Monsieur N° 67 , rubrique Mode
Depuis 1929, la maison britannique propose un service après-vente unique au monde. Près de 40 000 pièces par an sont ainsi réparées à la clinique de South Shields.
Un Barbour, c’est pour la vie
Inusable, pas absolument mais dans tous les cas, réparable et mieux, « reconditionnable » à l’état d’origine. Un cas unique dans le monde du prêt-à-porter : une clinique où l’on répare les Barbour du monde entier. Anecdotique ? Pensez-vous, près de 40 000 pièces par an passent dans l’atelier de réparation de South Shields.
Le vieux plutôt qu’un neuf
Si certaines pièces n’ont qu’un petit accroc d’autres sont en piteux état voire en lambeaux. C’est que leurs propriétaires leur mènent la vie dure. Chasseurs, cavaliers, motards, gentlemen farmers et pop stars, Barbour rassemble une communauté très hétéroclite bien loin de l’image bcbg qu’on en a en France
Une communauté qui n’a souvent qu’un seul point commun : un attachement farouche à son Barbour. Certains vont même jusqu’à lui donner un nom, « Max », « Jack »…
Mais, le meilleur exemple reste celui de la Reine Elisabeth d’Angleterre:
Un jour le Barbour royal arrive à South Shields. Avertie, Dame Margaret Barbour, la présidente, envoie très courtoisement une lettre à sa Majesté lui proposant de remplacer le vieux parka. Réponse royale en substance et sans appel : non merci, je préférerais que vous me répariez l’ancienne, j’y suis très attachée.
Mars 2007 - Visite à la clinique Barbour
L'Express Styles
Indémodable, la mythique veste british est portée aussi bien par la reine que par les popstars d'Oasis.
Reportage aux ateliers de South Shields, où l'on retape les modèles usagés de clients du monde entier.
Mars 2007 : Un article sur Barbour dans L'Express
Magazine L'Express de Mars 2007
Un tartan dont les couleurs véhiculent les valeurs du parfait countryman- bleu pour le ciel, vert pour les arbres, jaune pour les fleurs. La parka séduit aussi bien les gentlemen farmers que les motards. Les couleurs sont forcément sombres, puisqu'il est formellement interdit de la laver. Un Barbour ça se graisse.
Ainsi allait la vie dans la paisible entreprise familiale de South Shields, adossée à son désuet slogan: "Le meilleur des vêtements anglais pour le pire des temps anglais ". Mais un étrange phénomène se produit dans les années 1980 : Barbour devient à la mode. Cela commence avec les très distingués sloane Rangers ; puis ce sont les élégants Romains qui l'arborent sur leurs Vespa vintage ; enfin, à Paris, pas un étudiant d'Assas qui n'ait son Barbour. A South Shields, c'est l'incompréhension: "Porter Un Barbour en ville? Mais quelle faute de gout!" décrète, horrifié, Michael Whilchead, responsable de la création.
Les ventes décuplent- jusqu'à 300 000 vestes par an! On doit largement à la France le modèle emblématique, la Beaufort vert foncé à col en velours marron, avec son Carnier, cette grande poche dans le dos initialement destinée à accueillir la bécasse du chasseur. Elle représente, à elle seule, 50% des ventes mondiales.
"La veste Barbour est une icône inviolable, confie Michael Whitehead. Tout au plus peut-on introduire une poche discrète pour un lecteur MP3 ou pour un mobile." Alors, définitivement BCBG, le Barbour? Pas sûr. Certains modèles récents sont plutôt sexy, comme cette Utility pour femmes, inspirée des blousons cintrés de motards des fifties. On a même vu il y a peu des fashionistas des beaux quartiers parisiens détourner l'exagérément courte Spey Jacket, conçue pour les pêcheurs à la mouche immergés en rivière. Si la reine voyait ça...